Une étude relève la faible contribution du secteur privé au financement de l’horticulture, malgré les opportunités d’investissement et les potentialités de cette filière dans la zone des Niayes (ouest), a appris l’APS, jeudi, de ses auteurs.
Le Plan Sénégal émergent, qui prend en compte cette filière, prévoit la participation du secteur privé à son financement, a-t-il rappelé.
Les exportations de mangue sont assurées en partie par des exploitants ne disposant pas des financements nécessaires au développement de leurs activités, selon le directeur de l’horticulture.
L’étude va contribuer à la promotion du sous-secteur horticole au Sénégal, espère Macoumba Diouf.