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Pour élargir son expertise et le renforcement de son plaidoyer : La Cciad coopte 31 acteurs économiques

31 acteurs économiques ont été installés hier dans leur fonction de personnes ressources de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Dakar (Cciad). A travers cette ouverture, l’institution consulaire entend élargir son expertise et renforcer la force de proposition de ses instances.

 La Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Dakar (Cciad) a officiellement installé hier, ses personnes ressources. Il s’agit de 31 acteurs économiques évoluant dans divers secteurs et installés dans leur fonction de personnes ressources qui ont été cooptés par l’institution consulaire. La­quelle s’inscrit ainsi dans une démarche consistant à renforcer davantage la force de proposition de ses instances. A travers cette ouverture, la Cciad cherche à enrichir son plaidoyer par des éclairages d’experts afin de contribuer à faire de la phase post-Covid 19, une véritable opportunité pour les entreprises et le secteur privé sénégalais. «Pour prendre en charge efficacement les intérêts des opérateurs économiques, il est nécessaire de disposer de compétences avérées supplémentaires dans les domaines d’expertise variés», a indiqué le président de la Cciad à la cérémonie d’installation de ces personnes ressources. «Avec vos états de service respectifs, nous allons travailler avec vous es-qualité et, à titre consultatif au sein de nos instances de délibérations, notamment les commissions», soutient Abdoulaye Sow.
Il est précisément attendu de ces acteurs, des propositions et avis pour faire avancer l’institution consulaire. Bien qu’étant membres à part entière de l’As­sem­blée générale de la Cciad, les personnes ressources, qui vont désormais intégrer les différentes commissions de la Cciad, n’ont pas droit au vote, contrairement aux membres élus.
Après leur installation, les nouveaux membres ont marqué leur disponibilité et engagement à servir la Cciad dans l’intérêt des Sénégalais. En réalité, leur mission ne leur est pas inconnue puisqu’ils collaboraient déjà avec la Cciad. «Nous tous nous sommes des acteurs non officiels de la Cciad. Depuis un certain nombre d’années, nous travaillons à faire changer l’institution de trajectoire et à prendre plus de place dans l’économie de notre pays», a souligné Khady Fall Tall, présidente régionale de l’Association des femmes de l’Afrique de l’Ouest (Afao).

(LEQUOTIDIEN)

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